Anciennement garde champêtre, j’ai toujours été très proche de la nature, les plantes les animaux, une source de recueillement et de développement. C’est donc tout naturellement que j’ai cédé à l’appel de « mes fillettes », au détour d'un chemin à Roquebillière, le village du rocher aux abeilles (lou Caire del mel) où l'on trouvait des apiculteurs qui n'avaient pas de ruches et grimpaient aux parois rocheuses pour récupérer le miel des abeilles sauvages. J'y avais rencontré un apiculteur qui m'avait fait partager sa passion.

L’apiculture  est une révélation, c'est un métier qui m'interroge en permanence.  L’ouverture de la miellerie au public m’a permis de la partager et la transmettre  …